Nous ne sommes personne et nous sommes tout le monde.
Ce sont des gens ordinaires, avec des capacités ordinaires. Ils sont tenanciers d’une échoppe, d’un bordel, ou d’un atelier de couture, mécaniciens, ouvriers, etc …
Comment vivent-ils ?Les Betawis ne sont ni vraiment pour ni vraiment contre la domination Néerlandaise et s’adaptent à la situation présente. S’adapter et vivre au jour le jour est le mode de vie le plus répandu dans les bas quartiers de Batavia.
On trouve parmi eux beaucoup d’autochtones, mais également un grand nombre d’habitants provenant d’autres nations. L’Inde par exemple, toute proche, compte un certain nombre de ses ressortissants sur Java. On y trouve une proportion non-négligeable de personnes venant d’Asie (Chine, Corée, Indochine, Japon etc…), ainsi qu’une petite minorité d’Européens qui ont pareillement tenté leur chance dans cette nouvelle ville.
Quel est leur niveau moyen de vie ?On trouve de tout chez les Betawis, des mendiants aux bourgeois très aisés. Cependant, la classe sociale prédominante est celle ouvrière. On y trouve une proportion non-négligeable de personnes venant d’Asie (Chine, Corée, Indochine, Japon etc…), ainsi qu’une petite minorité d’Européens qui ont pareillement tenté leur chance dans cette nouvelle ville.
Si le commerce d’êtres humains a été aboli il y a une trentaine d’années, on peut considérer que les conditions de travail que subissent les ouvriers s’apparentent à de l’esclavage, à la seule différence qu’ils n’appartiennent formellement à personne.
Quel est leur cadre de vie ?Leur technologie est loin d’être de pointe, mais elle est souvent très résistante au labeur et faite avec ce qu’on peut bien se payer. Les connexions sont hasardeuses, les contrôlent également, mais cela suffit pour faciliter la tâche de ceux qui peuvent se permettre d’avoir un peu de technologie chez eux ou dans leurs activités professionnelles.
Une autre caractéristique de leur technologie est qu’elle n’a pas peur de flirter avec la légalité. Bon nombre de commerçants un peu aisés vont préférer se payer une machine sur laquelle on aura attaché une âme pour ses gros travaux plutôt qu’un employé.