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Agus Tadjo - Pour assouvir tous vos désirs
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Tickets : 45
Date d'inscription : 23/01/2016
Localisation : Un lupanar du quartier des Plaisirs
Agus Tadjo
Agus Tadjo

Dossier Personnel
Age: 24 ans
Emploi: Gigolo
MessageSujet: Agus Tadjo - Pour assouvir tous vos désirs Agus Tadjo - Pour assouvir tous vos désirs W9avDim 24 Jan - 11:30
nd
Demande de Visa
Carte d'identé
Nom: Tadjo
Prénom(s): Agus
Surnom:
Nationalité: Indonésien
Date de naissance: 19 février 1857
Sexe:  M[X]  -  F[]
Métier: Gigolo
Situation sociale: Duyung  
Description Physique
Premier constat lorsque l'on voit Agus, c'est que c'est un  duyung, et fier de l'être. Il n'ira pas le crier sur les toits non plus et on ne peut pas le deviner au premier regard, mais il respecte ce que sont les gens de son espèce dans le sens où il est beau et se trouve beau, si bien que cela constitue la seule source de revenus qu'il n'ait jamais connu. Ses yeux sont bleus, grands et si clairs qu'ils semblent toujours trancher les regards qui le rencontrent, contrastant avec sa peau bronzée par le soleil qui a toujours frappé si fort dans ce pays chaud et humide. Les traits de son visage sont fins, ses lèvres maigrement ourlées sous son nez petit et arrondi, le tout étant entouré d'une barbe et d'une moustache de quelques jours, toujours assez entretenus pour ne pas lui donner un air trop négligé, sans oublier ses cheveux noirs qu'il décolore assez négligemment pour se rapprocher de sa clientèle européenne. Ils sont très longs pour un homme, souvent attachés en un chignon rapide et desserré, à l'arrière de son crâne lorsqu'il ne les laisse pas simplement tomber en cascade sur ses épaules et sans son dos. Grand et fort, il dépasse d'une quinzaine de centimètres la taille moyenne des autres indigènes et dispose d'une musculature assez développée, qu'il se doit tout de même d'entretenir. En effet, il n'a pas le droit de se laisser aller, c'est ce qu'exige son métier. Ainsi, il doit toujours être présentable, propre, correctement habillé, voilà pourquoi on ne le verra jamais en haillons malgré sa classe sociale basse (et ce n'est qu'un euphémisme, n'oublions pas qu'il vend son corps), même lorsqu'il ne travaille point. Cependant, sa peau est par endroit marquée de quelques cicatrices discrètes, stigmates des mauvais traitements dont il fut victime à partir de ses seize ans. Il faut savoir qu'elles existent afin de les voir, mais lui les aperçoit parfaitement, et a apprit à les accepter.
Aussi, il possède dans son allure et sa démarche une certaine insolence, comme s'il n'avait plus rien à faire de ce que l'on pourrait penser de lui, alors qu'en réalité c'est bien le contraire. En bon duyung, il est obnubilé par l'apparence qu'il donne. Ainsi, lorsqu'il marche rapidement, d'un air décidé, il renvoie l'impression de quelqu'un qui sait parfaitement ce qu'il fait, où il va, quelqu'un qu'il ne faut pas non plus trop embêter, et tout cela est parfaitement calculé.

Profil Psychologique
Agus déteste sa vie. Même s'il adore sa personne, il n'est pas satisfait de sa condition pour un sou. Son passé n'a été qu'un enchaînement d'erreurs idiotes qu'il aurait pu si facilement éviter. Ce n'est que culpabilité. Alors, comment fait-il pour s'aimer autant ? Tout simplement parce que, bien qu'il soit un duyung, s'il ne s'aime pas lui-même, personne ne le fera pour lui. C'est en la condition d'homme solitaire et qui devait faire face à la menace constante des autres qu'il a grandit et qu'il a développé son tempérament si fort et indépendant. Il aimerait n'avoir besoin de personne, pouvoir satisfaire ses propres besoins. Ce serait peut-être cela qui flatterait le mieux son égo de sirénien si parfait, de savoir qu'il n'a plus besoin d'aucun lien avec ces autres humains, qu'il est au dessus d'eux en tout point. Pour lui, on n'est jamais mieux servit que par soi-même, c'est le fondement même qui guide chacune de ses actions. Il n'attend rien des autres, parce qu'il a autrefois été tant déçu. Alors, toutes ses interactions avec d'autres humains ne peuvent se résumer qu'à de la manipulation, ou au moins des tentatives. Parce qu'Agus a beau être intelligent, il n'est pas infaillible pour autant, il lui arrive parfois d'échouer (il ne serait plus gigolo sinon...). Il est toutefois plutôt pragmatique et opportuniste ; il sait saisir une occasion lorsqu'elle se présente et pour lui les valeurs morales n'ont pas à prendre le pas sur le reste ; si on peut les respecter, tant mieux, mais si elles doivent être sacrifiées, ainsi soit-il.
Terriblement fier, il a horreur de demander de l'aide, de passer pour quelqu'un de faible et incapable de survivre sans le soutiens d'autrui. Il préférerait ne pas manger pendant plusieurs jours plutôt que de mendier dans la rue. De toute façon, son travail n'a que rarement connu le chômage, mais ce n'est qu'un exemple.
Alors, garder une bonne façade est extrêmement important pour lui ; Agus a toujours fait extrêmement attention à toujours paraître être maître de la situation. En tant que duyung, les apparences sont très importante. Ainsi, il ne peut se permettre de renvoyer une image désagréable, cela ruinerait tous ses efforts de séduction, parce que séduire les humains est toujours la première étape vers leur manipulation, et l'étape suivant la manipulation c'est la récompense, sans oublier que tout cela constitue l'essence même de son métier.
Cet homme qui n'agit par intérêt a pourtant de nombreux points faibles ; déjà il est illettré, il n'a aucune éducation, puis comme tout bon duyung, il se doit de protéger sa peau animale lorsqu'il se balade en ville et il est très sensible à ce que les autres pourraient penser de lui. C'est cela qui motive tous ses efforts visant à renvoyer une bonne impression de lui-même, parce que sinon, rien ne montrerait aux autres à quel point il vaut mieux qu'eux. Voilà pourquoi il peut passer des heures, lorsqu'il ne travaille pas, à s'entretenir, à développer sa musculature, à démêler ses longs cheveux bruns décolorés.

Enquête sur le passé
Agus grandit avec sa mère. Choyé, chouchouté, ils vivaient dans le même luxe que les colons néerlandais, puisqu'ils le leur volaient. Le petit garçon ne connaissait pas son père, mais ils en avait eu peut-être une demi-douzaine de substitution. C'était toujours le même mode opératoire avec sa mère. Elle rencontrait un riche dignitaire européen, célibataire, et l'abreuvait de ses larmes de duyung intéressée et cupide, diluées discrètement dans leurs boissons. Instantanément et suffisamment longtemps pour que la femme puisse en tirer profit, le belanda tombait alors follement amoureux d'elle. En moins d'une semaine Agus et sa mère vivaient dans la grande maison de maître du néerlandais. Puis, dans le mois qui suivait, l'humain semblait s'abrutir peu à peu, devenait de moins en moins actif. Le petit garçon ne comprit jamais vraiment pourquoi, mais c'était toujours lui qui finissait par nourrir à la cuillère ses beau-pères, parce qu'ils n'étaient même plus capables de le faire eux-même. Mais il suffisait que le garçon n'oublie, le pauvre n'avait que cinq ans tout au plus, pour que les hommes ne meurent de faim, ou ne s'affaiblisse suffisamment pour finir par se tuer dans un accident idiot comme une chute dans les escaliers ou dans la baignoire.
Les hommes qui tournaient de gré ou de force autour de la mère d'Agus tombaient comme des mouches. Pourtant, bien qu'elle soit maltraitante avec ses maris, elle avait toujours été très attentionnée vis-à-vis de son fils. De toute les personnes avec qui elle avait vécu, il était la seule qu'elle aimait pour autre chose que son argent. Ils étaient inséparables, pouvaient passer leurs journées ensemble, à jouer, à s'amuser, à se faire des câlins, profitant largement de la fortune qu'ils amassaient à chaque nouveau mariage.
Mais une telle activité éveillait les soupçons, la mère d'Agus n'était qu'une croqueuse de diamants, une veuve noire qui choisissait une nouvelle cible dés lors qu'elle avait dilapidé l'héritage de son précédent veuvage. Un jour, tôt dans la matinée, on frappa à la porte de leur grande maison. Ce fut le petit garçon qui ouvrit la porte, sa mère étant dans la salle de bain, en train d'entretenir leurs peaux de siréniens.

« Bonjour petit, est-ce que ta maman est là ? » C'était la KNIL.  Ils venaient arrêter la femme, accusée d'avoir assassiné tous ses maris.
« Euh... Oui... Je vais la chercher... » répondit le petit garçon, obéissant. Il revînt quelques minutes plus tard, accompagné de sa mère. Elle était vêtue que d'une robe de chambre, les manches retroussées sur ses épaules puisqu'elle faisait en quelque sorte la lessive avant que l'on ne vienne l'interrompre.
« Madame vous êtes en état d'arrestation. » expliqua simplement l'agent avant de passer la porte. De ses mains gantées, il se saisit des poignets de la jeune femme et les menotta avant de la pousser dehors. Elle essayait de se débattre, mais il était bien plus fort qu'elle et de toute façon il était accompagné de deux autres agents, en cas de débordement. Cependant ils ne furent pas utiles pour contenir la jeune femme et la conduire jusqu'à la voiture sans que celle-ci ne puisse rien faire d'autre. Ils semblaient incroyablement couverts pour une saison aussi chaude, à se demander s'ils n'avaient pas fait exprès de s'habiller autant, sachant pertinemment à quel type de personne ils auraient à faire. Alors traînée de force jusque dans une voiture, la femme criait, se débattait. Des larmes commençaient à rouler sur ses joues pâles tandis qu'elle lançait ses dernières instructions à son fils, qui essaya de lui courir après mais qui fut retenu par l'un des deux autres agents, le plus petit.
« Occupe toi de nos peaux, Agus ! Je t'aime ! » furent les derniers mots qu'il entendit d'elle alors que l'agent claquait la portière de la voiture dans laquelle elle avait été enfoncée de force.
Se libérant alors de l'agent qui se contentait d'empêcher l'enfant de suivre sa mère, Agus courut à la salle de bain récupérer sa peau de dugong et celle de sa mère, il finit malheureusement par se faire rattraper par les agents du KNIL et fut jeté à l'orphelinat, comme tout orphelin javanais qui se respectait. Cependant, il avait un peu de chance dans son malheur, il avait pu récupérer les peaux et les avait enfoncé dans un sac qu'on lui laissa une fois dans sa nouvelle maison, pleine à craquer, à l'orphelinat.

Les protéger ne fut pas toujours facile, Agus était souvent la cible des railleries et de la méchanceté de ces camarades tous autant qu'ils étaient. Plusieurs fois on lui vola ses peaux de duyung, simplement pour l'embêter, sa condition de sirénien étant toujours inconnue des autres, ceux-ci ne pouvaient savoir ce qu'étaient ces deux artefacts auxquels il tenait tant. Mais cela n'avait pas empêché le garçon de devoir se battre de nombreuse fois afin de les récupérer et de dissuader quiconque de recommencer de sitôt.
L'orphelinat était crasseux, les enfants s'y accumulaient, sans rien d'autre à faire que de jouer dans la rue, de voler, de faire des bêtises. L'adaptation fut évidemment difficile pour Agus, qui n'était pas habitué à ce niveau de vie. C'était fini sa chambre remplie de jouets rien que pour lui, les bains tous les jours, les repas si bien cuisinés. Désormais c'était saleté, crasse et méchanceté.
Il passait le plus clair de son temps dans la rue, à traîner, tourner en rond. Parfois il fouillait les poubelles à la recherche de quelque chose qu'il pourrait revendre pour se faire un peu d'argent. Mais il trouvait rarement quelque chose.

Lorsqu'il eut seize ans, il décida de quitter l'orphelinat, mais ce fut plutôt une mauvaise idée, parce que désormais il devrait se débrouiller seul. Le vol à l'étalage fut une façon de survivre un temps, lui qui avait apprit à dérober dans son orphelinat. Mais il n'allait pas vivre toute sa vie de la sorte. Il lui fallait un logement, une chambre de bonne ou peu importe, et qu'il se trouve un travail. Mais pas quelque chose de trop salissant non plus, il restait tout de même un tant soit peu exigeant, il n'était pas duyung pour rien.
Alors, il commit l’irréparable pour un duyung, il vendit la peau de sa mère, sèche, usée et vieille qui traînait dans son sac depuis une dizaine d'années, à côté de la peau à l'air encore intacte du jeune homme. Il ne comprit jamais vraiment ce qui avait pu donner un aspect aussi terrible à la mue de sa mère, peut-être qu'elle était morte dans sa prison, donc que la peau avait connu le même sort.
Toujours était-il que, usant de ses charmes, Agus avait réussi à tirer une petite fortune de la peau de duyung qu'il aurait « dérobé de ses mains à une de ces monstres qui avait tenté de le noyer » qu'il vendit à un antiquaire crédule et qu'une poignée de main franche suffit à faire flancher et accepter tous les caprices du jeune homme.
Ce maigre pécule lui permit de vivre un temps, dans un petit appartement composé d'une seule pièce, sans toilettes ni fenêtre. Mais au moins il vivait seul, tranquille et libre. Il ne lui restait plus qu'à trouver un travail, ce qu'il décida de ne pas faire maintenant, histoire de pouvoir profiter quelques peu de sa nouvelle position de jeune homme libre.
Entre autre, cela lui permettait de sortir la nuit, de rejoindre la mer et de se vêtir de sa seconde peau. Qu'elle lui avait manqué, la mer. Le vent chaud, le bruit des vagues, l'odeur du sel. Il y allait souvent lorsqu'il était encore avec sa mer, mais lorsqu'il était encore à l'orphelinat, il n'avait pas le droit de sortir la nuit, donc il ne pourrait pas aller nager tranquillement et profiter de la couverture de l'obscurité afin de se changer à l’abri des regards.

Un jour, il décida de passer la journée dans sa seconde peau, à nager tranquillement, chasser quelques poissons, profiter du soleil comme il le faisait assez souvent en réalité. Il adorait sa double vie de dugong, même si celle-ci avait quelques inconvénients, le premier d'entre eux étant qu'il fallait constamment se cacher des humains, ces chasseurs vicieux et avares qui n'hésitaient pas à découper ces paisibles mammifères marins pour les revendre morceaux par morceaux.
Ce fut d'ailleurs ce qu'ils réservèrent à Agus, lors d'un chaud après-midi d'été. Alors que le jeune duyung se prélassait sur une plage, somnolant sur le sable chaud, il fut réveillé en sursaut par un poids inconnu qui s'étalait sur lui. Léger, étrangement réparti sur sa peau, mais dont la surface était rêche, comme du papier de verre. Ouvrant les yeux, il se trouva prit au piège sous un épais filet. Il ne pouvait plus bouger, l'ensemble de mailles empêchant tout mouvement qui lui aurait permit de s'enfuir.
Quatre hommes arrivèrent ensuite, marchant lentement, se félicitant d'avoir réussi à faire une si belle prise. Ils tenaient chacun un couteau de chasse et se préparaient à le tuer, à le découper et à en tirer le meilleur profit. Ils ne pouvaient pas savoir que quelqu'un d'autre se cachait sous cette peau de dugong. Alors, Agus fut bien obligé de le leur montrer.
Dans la précipitation, la panique, il sorti de sa mue de mammifère marin, se révélant nu et en tant qu'humain sous les yeux de ses ravisseurs avant d'implorer leur pitié. Ils étaient tous grands, forts, des explorateurs européens probablement, et ils décidèrent qu'ils auraient beaucoup plus à gagner d'Agus s'ils le revendaient en entier plutôt qu'en morceaux.

Voilà comment le jeune homme fut revendu à une maison close. Prit en otage, il était forcé de travailler pour un proxénète qui répondait au nom de Kuwat et qui se faisait respecter d'une main de fer grâce à sa douzaine de gardes grassement payés et qui avaient droit à de nombreux avantages sur la main d’œuvre du lupanar dans lequel ils mataient toute résistance.
Ce Kuwat était loin d'être idiot, il savait à qui il avait affaire, il était instruit et connaissait les ruses des duyungs. Il ne se laisserait pas berner aussi facilement par les charmes et les tentatives de manipulation du jeune homme. Premièrement, la peau de dugong du jeune homme lui fut confisquée et cachée dans un coffre fort dissimulé à l'intérieur du bureau du maquereau. Ensuite, Kuwat prit toujours moult précautions à éviter tout ce qui pourrait le faire tomber sous le charme manipulateur du jeune homme ; il évitait tout contact physique et avait toujours fait en sorte que jamais le garçon ne puisse se servir de ses larmes comme du philtre d'amour qu'elles étaient.
Cependant, ses charmes faisaient fureur. Tant qu'il était encore jeune et frêle, il était loué à d'autres hommes, souvent de riches néerlandais aux goûts étranges qui profitaient du jeune garçon qui n'avaient alors que seize ans. Puis, lorsqu'il grandit, atteignit sa taille adulte, sa carrure si forte et développée ainsi que la perfection physique qu'on lui reconnut tant de fois et qu'il ne devait qu'à sa condition de duyung, on lui permit une clientèle féminine, toujours aussi riche, mais aux pratiques bien moins traumatisantes.
Son physique de duyung lui permettait d'être le travailleur le plus rentable de son bordel. Il attirait toute sorte de clients et les fidélisait toujours en un clin d’œil, mais cela ne lui offrit aucun avantages vis-à-vis des autres. Il n'avait qu'un salaire de misère, n'avait pas droit à un pourcentage sur ses passes, et dormait dans une chambre miteuse et moisie dans les combles de sa maison close.

Une fois il tenta de charmer l'un de ses gardes afin de récupérer sa mue de dugong et de pouvoir prendre la fuite en toute liberté. Mais alors qu'il était dans le bureau, on lui tomba dessus, et la répression fut terrible, le jeune homme fut tabassé et quasiment laissé pour mort dans sa chambre, en sang et plusieurs os brisés. Il n'en fallut pas plus pour le dissuader de ne pas recommencer de sitôt, sans oublier que puisqu'il ne pouvait pas travailler dans cet état là, il n'avait pas le droit à un salaire ou des repas.

Aujourd'hui, il travaille toujours comme gigolo au service du même proxénète, et ce depuis presque huit ans maintenant. Il a apprit à accepter sa condition, et pratique son métier forcé avec indifférence et passivité. Tout est du pareil au même pour lui  il n'attend plus grand chose, sait que personne ne viendra le sauver de là. Il rêve toujours de liberté, de s'enfuir avec une de ses clientes ou l'un de ses clients, afin de vivre dans la même richesse qu'il a connu lorsqu'il était si jeune. Mais tout cela est si lointain désormais, et il risquait de finir en prison comme sa mère s'il enchaînait les veuvages comme elle l'avait fait.
En fait, il s'était même habitué à mener ce genre de vie. Au moins il avait un salaire, un logement et trois repas par jour. De plus, son métier consistait quand même à être parfait, à s'entretenir régulièrement et à plaire aux autres, ça c'était quelque chose qu'il savait faire. S'il s'enfuyait de cette maison close, s'il échappait aux griffes de son proxénète, que ferrait-il ensuite ? Il ne savait ni lire ni écrire, et personne n'embaucherait un gigolo pour faire autre chose que gigolo. L'avenir d'Agus semblait tellement incertain...

Hors du jeu
Un petit mot ? Citron

Voulez vous de l'aide pour commencer ? Nope ça devrait aller je pense

Comment nous avez-vous trouvé ? Sur un topsite, un peu par hasard, et j'ai flashé sur le contexte
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Agus Tadjo
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MessageSujet: Re: Agus Tadjo - Pour assouvir tous vos désirs Agus Tadjo - Pour assouvir tous vos désirs W9avDim 24 Jan - 11:31
Petit double post (pas taper svp Sad ) pour signaler que ma fiche est finie Very Happy
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MessageSujet: Re: Agus Tadjo - Pour assouvir tous vos désirs Agus Tadjo - Pour assouvir tous vos désirs W9avDim 24 Jan - 12:27
Après les modifications demandée, j'ai le plaisir de te valider :fancy:

Par contre, si sur ton avatar, le doute persiste, fait attention sur ta signature, il est quand même bien blanc le jeune homme x)
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MessageSujet: Re: Agus Tadjo - Pour assouvir tous vos désirs Agus Tadjo - Pour assouvir tous vos désirs W9av
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Agus Tadjo - Pour assouvir tous vos désirs
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