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Arjuna Gairah [ Terminée ]
Messages : 45
Tickets : 72
Date d'inscription : 07/02/2016
Localisation : La Hase de Vénus
Arjuna Gairah
Arjuna Gairah

Dossier Personnel
Age: 22 ans
Emploi: Prostituée de luxe
MessageSujet: Arjuna Gairah [ Terminée ] Arjuna Gairah [ Terminée ] W9avMar 9 Fév - 2:38
Demande de Visa
Carte d'identé
Nom: Gairah
Prénom(s): Arjuna
Surnom: Dans la langue Duyung, mon frère m’appelle Sungai Yang, la rivière de désir, l’eau vive et toujours fuyante entre ses doigts. Mais lorsque nous sommes sur terre, je deviens son Calice, le précieux objet qui lui appartient et auquel il peut venir s’enivrer à loisir.
Nationalité:Javanaise
Date de naissance: 12 juin 1859
Sexe:  M[]  -  F[ X ]
Métier: Prostituée de luxe à la Hase de Venus

Musique ? ♪♪♪

Situation sociale: Duyung  
Description Physique

« Que n’ai-je passé d’années à t’observer dans les moindres détails ?
J’eu mille occasions de parcourir de mon regard les courbes gracieuses de ton corps. Je connais chaque pouce de ta soyeuse peau claire que j’ai ornementé d’encres colorées. Séance après séance, passe après passe, tu allonges la grâce fine de tes courbes généreuses sur le désir de ceux qui te contemplent. Cette épaule fine, ce bras charmant, cette main gracile aux ongles délicats. L’on rêverait de ses sentir vibrant contre soi. Inspirant alors la fragrance de ta longue chevelure nocturne étoilée des reflets éclatants de la lumière, je m’enivre de ce parfum subtil avant de déposer un baiser au creux de ton cou fin.
Tu frémis et tournes sur vers moi ton minois d’ange sensuel, me ravissant de l’opalin de ton sourire lumineux. Je plonge alors dans le bleu argenté de tes grands yeux qui réveillent une fois encore mon désir fougueux alors que pigeonne entre tes bras ta poitrine insolente de générosité. Ma main se pose sur le cambré vertigineux de ton dos, glisse d’une caresse sur le grand dragon qui l’orne et termine l’ascension ravissante de ton séant bombé et pâle comme l’astre sélénite. Mon regard se perd alors, loin, le long de tes jambes oblongues et diaphanes qui s’étendent lascives et entrouvertes.
Tu es Arjuna, la plus irrésistible des tentations et nul ne saurait se refuser à toi.
»
Confession de Darma à propos de sa jumelle.
Profil Psychologique

J’aime sentir le pouvoir que je peux exercer sur les humains, je ne m’en cache pas. Il est vrai qu’ils ne sont jamais sublimes, jamais exceptionnels, comme le sont les Duyungs, mais je les trouve amusants. Voir fascinants, en certaines occasions. Leurs querelles, leurs sentiments, leurs espoirs, leurs buts, tout cela me parait étrangement éloigné de mes considérations, mais c’est intéressant de les observer et de les écouter parler, j’en ai fait mon passe-temps. Et vous n’imaginez pas le nombre de choses que l’on apprend une fois le corps rassasié de plaisir et l’esprit embrumé par l’effort.
Mon frère et moi l’avons très vite compris : pour parvenir à la place que nous convoitons, il faut user de tous les moyens possibles pour nous enrichir. Le sexe, les informations importantes, même nos propres larmes, tout est bon à vendre. Car c’est bien l’argent qui fait tourner ce monde terrestre. Et nous ne nous contenterons que du meilleur ici-bas puisqu’après tout, nous ne méritons pas moins.
Je ferai tout ce qu’il faudra pour combler Darma, pour lui offrir la vie qu’il lui faut, le prestige auquel il aspire, la richesse qui lui siéra le mieux. Il est ma vie, mon monde tout entier et l’ancre qui me retient. Peu importent les vagues autour de moi, je peux aller à ma guise dans le périmètre qu’il m’accorde, et me laisser aller puisqu’il sera toujours là pour veiller à ce que je ne dérive pas. Pour certains c’est une forme d’emprisonnement, pour moi ce n’est que de l’amour. Un amour complètement fou cela dit, j’en ai conscience. Il est tout ce que je désire, tout ce que j’adore. Mon cœur, mon corps et mon âme toute entière lui appartienne, mais cet idiot n’est pas capable de me donner ce que je souhaite. Nous nous appartenons mais nous ne pouvons jamais nous posséder. Nous ne sommes pas vraiment deux tant nous nous comprenons, mais nous ne serons jamais un. Il me fait languir et soupirer, me comble je bonheur par sa seule présence et me rend folle de rage de se trouver toujours hors de portée. C’est toujours lui que je cherche à travers les autres hommes, même si je sais que je ne l’y trouverais jamais. Qu’il me regarde donc, qu’il gémisse et qu’il pleure face à son impuissance, ainsi me douleur sera partagée.
Notre passion est folle, elle nous détruit chaque jour. Mais notre amour est assez profond pour nous garder en vie.
Enquête sur le passé

Mes premières années ne sont que douceur. Je n’ai pas le souvenir d’autre chose que l’océan, la mangrove et nos parents. Les dugongs n’ont normalement qu’un seul petit et les naissances peuvent parfois être espacées de sept ans. Imaginez la surprise de notre mère lorsqu’après avoir mis au monde son premier petit, elle sentit arriver immédiatement le deuxième.
Darma est mon aînée d’à peine trois minutes. Trois minutes, ce n’est rien dans une vie. Mais trois minutes, c’est assez pour qu’il y en ait un plus vieux que l’autre, comme disait mère. Notre petite famille vivait principalement au nord-ouest de l’île, dans le détroit de Madura et près des embouchures de fleuves. La ville la plus proche était Surabaya, ce qui signifiait que le reste de la côte était parsemé uniquement de petits villages paisibles. Pas de grandes industries, pas de gros bateaux à vapeur, pas de machines bruyantes… La mer est paisible dans cette région et les prairies marines sont assez abondantes pour qu’un groupe de quatre trouve son bonheur. Ma vie n’était, à cette époque, que jeux et découvertes. Les dugongs ne sont pas reconnus pour leur rapidité et leur tempérament agressif, c’est encore plus vrai pour les enfants. Nous n’aspirions qu’à être avec notre mère, lové l’un contre l’autre, à brouter les meilleures herbes et à jouer avec poissons des récifs.

Je ne me souviens pas bien de notre première sortie sur terre. Nous étions certainement trop jeunes… Peut-être deux ou trois ans seulement. Notre père était resté dans l’eau pour veiller au grain tandis que notre mère nous montrait comment retirer notre peau. C’est un changement assez naturel une fois que l’on comprend son fonctionnement. Je me rappelle en revanche très bien qu’il faisait nuit, que l’air était chaud et que j’étais ravie de pouvoir faire « de la magie » comme les grands. Une fois cette étape franchie, nos sorties à l’air libre se firent de plus en plus fréquentes. Il fallait apprendre à marcher avec autant d’aisance que nous nagions, apprendre à parler aussi facilement que nous chantions sous l’eau. Comme beaucoup de jumeaux, Darma et moi nous mîmes à parler notre propre langage, en plus du javanais. Quelque chose entre les mots et les sifflements, une langue totalement inventée et intuitive que personne n’a jamais compris. Même si j’avais envie de vous en expliquer la logique et le fonctionnement, je serais bien en peine de le faire.
Une fois les bases inculquées, nous nous sommes rendus dans certains petits villages pour côtoyer les humains. Il fallait raconter que nous venions de la jungle ou d’un village voisin pour expliquer nos apparitions et disparitions, mais les gens simples se posent heureusement peu de questions quand ils ont à faire à des gens comme nous. Dire que nous avions des amis humains serait un peu exagéré, mais nos camarades de jeu étaient nombreux. C’est sans doute à eux que nous devons d’avoir appris comment fonctionnent les choses essentielles sur terre, à commencer par les bêtises et leurs conséquences quand les adultes s’en rendent compte. Cette période aussi fut heureuse, insouciante. Nos parents s’inquiétaient à notre place de la sécurité de nos peaux, ils nous fournissaient la sécurité, l’amour et le confort dont nous avions besoin et nous étions encore trop jeunes pour sentir vraiment la différence abyssale entre les créatures terrestres et notre race. Bénie soit l’innocence des enfants.

Puis arriva l’âge du départ. Les nôtres ne vivent que très rarement en groupes, malgré l’affection que nous pouvons porter à nos congénères nous sommes des solitaires. Arrivé à l’adolescence, il n’est pas rare que les enfants quittent le giron familial pour aller chercher leur propre lieu de vie. Moi je suis parti avec Darma, en même temps, dans la même direction. Il faisait partie de mon monde, partie de moi, je ne concevais pas de me séparer de lui. Ça aurait été comme me débarrasser de ma peau. Et puisque je sais que vous vous posez la question, sachez qu’à cette époque il nous restait assez d’innocence juvénile pour que le seul amour que nous nous portions soit fraternel. Fusionnel et profond, certes, mais cela tenait de notre gémellité comme cela peut arriver aux humains.
C’est donc ensemble que nous sommes remontés vers le nord-ouest de l’île, poussés par la curiosité et ce sentiment intense de liberté que ressente tous les jeunes gens qui prennent leur envol. Nous nous pensions invincibles, irrésistibles et déjà adultes, évidemment. Le mélange parfait qui fait commettre bien des folies.
Nous avons longé la côte pendant longtemps, peut-être plusieurs mois, peut-être même quelques années. La notion de temps n’avait pas beaucoup d’importance pour nous. Si nous trouvions un endroit paisible, nous y restions quelques jours avant de repartir, prenant notre temps pour explorer les rivages et les embouchures de fleuve qui parsemaient notre route. Et quand apparaissait les traces de la présence des humains, nous sortions de l’eau à la faveur de la lune, veillant à bien dissimuler notre trésor avant de nous mêler à la population. Je vous laisse imaginer à quoi peuvent s’amuser deux jeunes duyungs en pleine découverte de leur potentiel de séduction. Ça commence généralement avec le plaisir de se sentir observé, puis l’envie de pousser le vice jusqu’à se faire inviter. Nous nous lancions des défis, Darma et moi : fais-en sorte que cette fille t’offre le ruban dans ses cheveux, fais-toi inviter à déjeuner par ce garçon… De fil en aiguille, ces défis devenaient de plus en plus complexes et de moins en moins innocents. Non seulement nous grandissions mais nous testions aussi nos limites et celles des humains. L’idée qu’ils nous étaient inférieurs se faisait aussi plus marquante dans nos esprits, bien que nous éprouvions beaucoup de plaisir à évoluer parmi eux.

C’est en même temps que s’éveillent la sensualité que naquit entre nous quelque chose que beaucoup qualifient de contre-nature. Fréquenter d’autres hommes ne faisait que mettre en évidence la supériorité de mon frère, dans tous les domaines. Personne ne pouvait être aussi beau que lui, aussi fin d’esprit, aussi doux, aussi protecteur, aussi méritant. De modèle à suivre il était devenu mon idéal masculin, sans que je ne me rende compte. Il était mon refuge dans ce monde qui ne parvenait pas à ma hauteur et où je n’aimais rien de plus que jouer avec ses habitants. Le seul qui puisse mon comprendre vraiment, en un seul regard, en un seul contact, le seul également à qui j’acceptais de donner ma confiance. Je savais que je pouvais le laisser me guider, prendre la barre de notre navire et choisir le cap, car en cas de problème il serait là pour nous mettre tous les deux à l’abri. Cependant, rien de cette attirance naissante ne transparaissait encore et nous ne franchissions pas les limites que la société impose.
Je fus la première à goûter aux plaisirs de la volupté. Avais-je seize ou dix-sept ans ? Cela importe peu en réalité, ce qui compte c’est de savoir que déjà à cette période, les défis s’étaient fait beaucoup plus unilatéraux. Darma les proposaient et moi je les relevais, pour m’amuser et pour lui faire plaisir. Je vous vois déjà dire qu’il était en train d’asseoir son contrôle sur moi, en train de me transformer en objet obéissant. Mais pensez-vous que je manque à ce point de caractère pour accepter d’être manipulée ? Ces rôles, nous les avons choisis consciemment et avec l’accord de l’autre, nous ne sommes pas dupes et aucun de nous ne tente de manipuler l’autre à son insu, je vous rassure. Je suis une victime volontaire et consentante. Et le premier tour que me fit faire mon jumeau fut de charmer un jeune nanti jusqu’à ce qu’il perde son intégrité entre mes bras. Il n’était pas vilain garçon, pour être honnête, et pas méchant non plus, il ne méritait peut-être pas de se faire rouler de la sorte, mais c’est ainsi. Son riche paternel, dont le nom et la couleur de peau trahissait les origines européennes, ne tarda pas à apprendre les ébats de son fils. Autant vous dire qu’il n’a pas apprécié l’idée d’avoir des petits bâtards d’une fille de rien javanaise. Notre chance fut que, pour parer à cette désagréable éventualité, il décida de venir nous voir pour passer un marché : une somme conséquente pour notre silence et la promesse de disparaître de la vie de son rejeton. Combien de temps pensez-vous qu’il nous a fallu pour accepter la proposition ?

Alors comme ça, il était possible de se faire de l’argent aussi facilement que cela ? Cette découverte valait littéralement de l’or, Darma s’en rendit compte. Notre goût pour les belles choses et le confort était déjà très prononcé et cette mésaventure me fit entrevoir la possibilité d’offrir à mon frère adoré la vie de roi qu’il méritait. Sans compter que, malgré le désir qui croissait en nous, nous n’osions pas encore briser le carcan des interdits. Et cette terrible frustration trouvait pour moi un exutoire plutôt efficace dans les relations que je pouvais entretenir avec d’autres hommes. Ils n’étaient pas mon Galombang Pasang, mais je pouvais toujours imaginer le contraire.
C’est ainsi que nous avons monté quelques arnaques, piégeant des jeunes gens de bonnes familles dont les parents étaient prêts à payer une jolie somme pour cacher les déboires. Évidemment, le pas vers la prostitution ne fut pas très long à faire. Mais le plus gros obstacle était le niveau de vie auquel nous aspirions. Vivre dans un bouge et se vendre à la lie de l’humanité contre quelques billets ? Beurk ! Non ! Il nous fallait mieux, nous le méritions ! Et c’est à Jakarta – Batavia pour les étrangers – que nous allions trouver notre bonheur. La maison des plaisirs de la Hase de Venus était l’écrin que nous cherchions tant et nous fîmes tout pour y être convié.

J’ai de l’admiration et du respect pour la gérante des lieux, plus que pour bon nombre d’êtres humains. C’est une femme raffinée, élégante et exigeante qui ne se contente que du meilleur. À sa façon elle est un peu duyung. Ma beauté et mon élégance naturelle attirèrent son attention et comme il ne viendrait pas à l’idée de l’un des nôtres d’être grossier, je me comportais avec plus de savoir-vivre que bien des filles de ma condition (qui, disons-le sans honte, n’était pas glorieuse à l’époque). Elle accepta donc de nous accueillir dans son établissement et de m’enseigner tout ce que je devais savoir sur la bienséance, les bonnes manières, l’anglais et le néerlandais, la culture indispensable pour une dame, l’art de la conversation… Rien ne pouvait plus nous ravir, mon frère et moi, que d’entrer dans cet univers fait de boiseries fines, de soies et de velours. J’appris le mieux possible et le plus vite possible tout ce que l’on avait à m’enseigner, demandant parfois plus, avide d’être plus parfaite que je ne l’étais déjà. On put me mettre au travail plus vite que la majorité des filles qui entrent à la Hase.

Vous vous doutez bien que je n’ai pas mis longtemps à me hisser parmi les meilleures filles de l’établissement. Et cela avec la complicité de mon frère, bien sûr, qui a toujours été mon seul et unique proxénète.
Depuis presque quatre ans à présent nous habitons au second étage de la Hase de Vénus, dans l’une des trois plus grandes chambres. Nous partageons la petite salle de bain privative, le lit et le confort des lieux. Et l’avantage de cette chambre réside, pour nous, dans l’existence de ce tout petit boudoir caché dans lequel on ne peut entrer que par la salle d’eau. Une pièce juste assez grande pour accueillir un matelas au sol, une grosse malle et un petit fauteuil. Personne n’a le droit d’y entrer à part nous. Ça serait trop bête qu’un client remarque que derrière le bas-relief en bois qui décore un de mes murs se trouve un petit panneau coulissant permettant de voir tout ce qui se passe dans la pièce depuis le boudoir. Quoi que, certains aiment se savoir observé.

Vous avez écouté jusqu’au bout ? Merci, vous êtes un ange. Je vais donc vous raconter autre chose, quelques petits secrets à garder. Vous pourrez le faire ?
Commençons avec mon tatouage. Vous n’avez pas pu le rater, il couvre la totalité de mon dos, ronge mes épaules et ma taille, il descend même au plus bas du creux de mes reins. Ce grand dragon qui vous fixe en vous montrant les crocs est une œuvre de mon adoré. Et chaque séance qu’il nous faut pour le compléter, le peaufiner, lui ajouter de la couleur, est un moment de souffrance et de pur jouissance. À l’image de notre relation. Je ne sais pas s’il sera terminé un jour, nous prenons notre temps et Darma est un perfectionniste. Mais il a déjà fière allure, n’est-ce pas ?
Ah, vous voulez en savoir plus sur mon frère. Vous ne vous résolvez pas à l’idée que je puisse l’aimer et le désirer si ardemment. Je ne vous blâmerais pas, vous n’êtes pas le premier. Je sais que ce n’est pas « bien », je suis même la première à reconnaître que cette relation nous ronge et nous empoisonne. IL m’empoisonne. Me déchire. Me fais souffrir et me tue à petit feu… Mais sans lui je meurs, je deviens folle, je suis perdue. Je ne veux que lui, je n’aspire pas à moins que sa perfection et il ne mérite pas moins que moi. Notre passion est dévorante, réciproque et affamée car jamais satisfaite. Depuis notre arrivée à la Hase, nous l’avons laissé exploser sans retenue et si nous avons la décence de ne pas l’afficher de façon trop évidente en public, nous ne la bridons pas lorsqu’il n’y a que nous deux. Mais il n’y a pas que l’attirance charnelle, il a aussi la tendresse, la douceur, la prévenance et toutes ces petites choses qui nourrissent l’amour. Même si c’est inconvenant, aucun de nous ne renoncerait à cette situation. Nous sommes allés trop loin pour faire demi-tour.

Hors du jeu
Un petit mot ?
Je sais qu’on a l’air sales et folles avec Darma, mais promis en vrai on est gentilles et très saines d’esprit =3 Un cookie ?
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J’espère que ça ira sans, merci ♥
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Note de bas de page
Arjuna et Darma sont complémentaires dans le rp autant que dans leurs fiches. Certains détails de leur histoire sont partagés entre cette fiche et l’autre. Pour une approche complète du personnage, n’hésitez pas à aller lire la présentation de son jumeau ^^
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Dewa
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L'Origine

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MessageSujet: Re: Arjuna Gairah [ Terminée ] Arjuna Gairah [ Terminée ] W9avMar 9 Fév - 12:17
Bonjour Arjuna et re-bienvenue ! :fancy:

On commence par mademoiselle, un peu de galanterie ne fait pas de mal Razz

Une Duyung dans toute sa splendeur, avec une relation à la fois glauque et parfois un peu touchante (le côté interdépendant peu parfois s'avérer très mignon), a laquelle, je n'ai rien à redire.

Je te valide donc :sheep:
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Arjuna Gairah [ Terminée ]
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