Nom: Gairah Prénom(s): Darma Surnom: Quand ma sœur et moi sommes dans notre élément naturel elle m’appelle souvent dans la langue Duyung « Galombang Pasang » … le raz-de-marée … la vague puissante. Mais quand ni elle ni moi ne portons nos peaux aquatiques, elle me surnomme également « son absinthe » à très juste raison puisque je suis son doux et enivrant poison. Nationalité:Javanais Date de naissance: 12 juin 1859 Sexe: M[X] - F[] Métier: proxénète de sa sœur et tatoueur traditionnel Situation sociale: Duyung
Description Physique
Qui que tu sois, tu le trouveras beau. C’est ainsi : le ciel est bleu, le soleil apporte le jour, la lune apporte la nuit et mon Darma est éblouissant. Je les entends parfois murmurer, toutes ces femmes qui le regardent de loin en rougissant. Certaines n’ont d’yeux que pour la blancheur de sa peau, d’autres pour la finesse presque androgyne de ses traits. Les plus chanceuses diront connaître le dessin parfait de ses muscles sous ses vêtements, adorer la caresse de ses cheveux noirs, qui lui descendent jusqu’aux reins, et celle de ses mains à la fois fortes et délicates. Mais elles n’y connaissent rien. Personne ne peut voir mon frère tel que je le vois, personne ne le connait aussi bien que je le connais. Je sais par cœur son visage : il a le nez fin, de grands yeux gris en amande, des lèvres qui ne demandent qu’à être embrassées lorsqu’elles ne vous subjuguent pas dans un sourire. Il dessine parfois un tikah sur son front, d’un simple trait de pinceau. Mais il n’a jamais eu besoin de ça pour lire dans mon âme. Sous les riches étoffes qui les couvrent, ses épaules et ses bras ont la force de me porter sans mal. Ses hanches sont étroites, marquées par un pli à l’aine, et ses jambes sont musclées par les années que nous avons passés à nager. Rien d’étonnant à ce que toutes les femmes qu’il a pu chevaucher rêvent de lui sans cesse. En plus de ce physique parfait, il a le don des Duyungs, bien sûr. Rien ne lui résiste. Il fera de vous son meilleur ami en une simple poignée de main et charmera votre femme d’un regard, sans éprouver de difficultés ou de remords. C’est un prince parmi le commun des mortels et il semblera aussi élégant lorsqu’il est assis parmi les coussins de la maison close que s’il était installé sur un trône. Le luxe lui va à ravir. Il s’habille toujours de beaux vêtements à la coupe parfaite, pare son corps de couleurs et de motifs exquis, s’habille à la mode de Jakarta, mais aussi à celle d’autres pays. Le kimono japonais est difficile à trouver, sa soie vaut une coquette somme, mais il le porte tellement bien… …Confession d’Arjuna à propos de son frère …
Profil Psychologique
Je suis une âme rêveuse et idéaliste. Ma sensibilité artistique m’insuffle le goût de ce qui est beau, intense et inéluctable. Mon médium est d’encre tandis que ma toile est de peau. Je suis tatoueur. J’ornemente les corps, je les souligne et les magnifie tels des chefs-d’œuvre. Mais ne vous imaginez pas que je sois l’un de ces piqueurs moribonds et crasseux qui tatouent dans des gargotes infâmes des bas-fonds. Je suis un Duyung !! Je ne m’abaisserai pas à fréquenter la lie de cette humanité. Alors les embellir de mon art serait leur faire bien trop d’honneur. Non j’aspire au contraire à la vie en haute société, au luxe, aux bonnes manières, à la volupté. Seule cette classe d’humain sait, à mes yeux, se rendre digne de porter mes tatouages. Et d’en payer le prix. Si je suis moi-même tatoué ? Certes non ! Personne n’est assez habile selon moi pour que je m’y résolve. Je ne tolérerai pas que l’on porte atteinte à ma beauté physique avec un tatouage qui ne ferait que la gâcher. J’aime séduire, j’aime contrôler et manipuler les humains à ma guise. N’y voyez pas de la méchanceté ou une quelconque haine envers eux. Je sais les apprécier à leurs justes valeurs et trouver en eux ce qu’il y a de meilleur. Mais charité bien ordonnée commence par soi-même. Je privilégie donc bien plus fréquemment mes propres intérêts, c’est une question de priorité. Plus je nage dans le confort d’une vie fastueuse, plus elle m’est agréable. Duyung accompli, je n’ignore rien de la portée du pouvoir de persuasion et du charme qui sont miens. J’en joue et j’en jouie sans scrupules car je sais que la ploutocratie est une hégémonie incontournable qui facilitera mon accession si j’en fais son pouvoir mien. Alors puisque nos larmes valent une fortune au marché noir, je ne me prive pas d’en tirer de substantiels bénéfices. C’est d’ailleurs selon moi un moyen très profitable de rendre moins amères les armes que je verse. Mais je suis avide, j’en veux toujours plus ! Je ne me contenterai pas de vendre les gouttes de mes propres douleurs. Je fructifierai également celle de ma tendre sœurette. Ces larmes que je lui arrache … bien malgré elle … sont miennes depuis leur origine et j’en dispose avec son tendre consentement. Arjuna, ma sœur, ma moitié … Je te possède d’un amour si fusionnel et pourtant si dualiste. Tu habites mon cœur autant que mon esprit. Perpétuellement. Je veille sur toi, je te protège. Je te guide et te dirige dans cet univers exotique et fascinant qu’est le monde de la surface. Je pourrai sacrifier ma propre vie pour que la tienne soit douce, saine, sauve et d’abondance épanouie. Tu es ma précieuse, ma dulcinée hallucinante, tu m’obsèdes et m’échauffe. Continuellement. Et dans le plus sulfureux des paradoxes, je te jette entre les bras d’inconnus qui ouvrent leurs bourses de cuir pour que tu flatte la peau des leurs avec tes talents de jouisseuse. Tu es mon irrésistible gagneuse, je suis ton aimé proxénète. Mon enfer n’est pas de jalousie, car bien que prise au corps par les caresses d’inconnus, je te sais prise au cœur par ma seule personne. Ah divine diablesse ! Ma damnation est de ne pouvoir t’honorer comme je le devrai. J’ai beau te désirer de tout mon corps et de toute mon âme, je faillis et perd vigueur face à ta beauté qui me bouleverse et me désarme. J’enrage alors et ne puis que t’effleurer alors que je m’écroule et perd toute virilité. Ma frustration en est telle que j’en exulte la fougueuse libido aux jupons d’autres femmes qui s’en trouvent réceptacles rosissant d’un plaisir renversant et d’orgasmes bouleversants. .
Enquête sur le passé
Mère nature est d’une générosité incontestable et ses voix sont impénétrables. Le destin est facétieux et réserve bien des surprises à ceux qui le croient figé et inéluctable. Mes parents considérèrent alors la naissance de leurs petits jumeaux comme un miracle et un don des dieux. Je m’appelle Darma Gairah. Je suis un Duyung, digne et fière descendant du peuple sirénien des océans. Je suis viscéralement et émotionnellement lié à l’élément aquatique. Les rivières et leurs lits, Les vagues et leurs courants, les récifs et leurs grands fonds, la faune et la flore du monde du dessous … toutes ces merveilles que recèle l’océan sous sa surface, ont peuplés mon enfance et celle de ma jumelle, Arjuna. Bercés par la bonté et la bienveillance naturelle des nôtres, nous grandîmes entre les nageoires protectrices de notre mère qui nous transmit sa tendresse, sa douceur et celles de notre père qui nous enseigna la culture ainsi que la paisible finesse d’esprit éclairé de notre peuple sage. Soucieux de nous offrir les plus grandes chances de vivre pleinement l’épanouissement d’une existence consciente dans le monde où nous allions grandir, nos parents nous apprirent à nous départir de nos enveloppes aquatiques pour fouler le monde des hommes, se fondre parmi eux et apprendre à les connaître. Mais nous n’étions ni ma sœur ni moi fort assurés et les premières escapades terrestres, sous bonne garde parentale, furent passionnantes de découvertes. Ce monde du dessus me fascinait déjà alors que je n’étais qu’un petit dugong. Prudents et méfiants, nos parents veillèrent néanmoins à ce que nous ne nous y aventurions jamais en plein jour. Et pourtant j’avais si souvent observé les villages côtiers à la lumière du soleil, depuis la sécurité de l’océan. Ma curiosité et mon intérêt n’en étaient que plus intenses. C’est aussi l’ors de l’une de ces nuits investigatrices que nous fîmes la rencontre d’un peuple qui s’apparentait aux humains mais ayant néanmoins une affinité particulière avec la nature et plus spécialement les animaux. A ce titre, les Dukuns qui comme nous se sentaient intimement proche de la nature, recevaient-ils ma considération. Je les trouvai tout aussi passionnant à rencontrer et étudier que les humains « normaux » mais ils eurent à mes yeux un peux plus d’estime quoique je ne pouvais les juger aussi nobles que notre peuple Sirénien. De découvertes de petits villages de pêcheurs en rencontres avec leurs humbles habitants, d’escapades nocturnes en fugues diurnes, je pris en assurance et la fréquentation des humains devint un jeu passionnant que je partageai malicieusement avec ma sœur. Nous découvrîmes très tôt que nous possédions par le toucher la capacité d’influencer leurs humeurs et de nous attirer leur sympathie. Pour des adolescents Duyung et jumeaux de surcroît, aussi étranges puissions-nous paraître avec notre langage intimiste et secret. La sociabilisation avec ces étrangers était naturelle et si facile pour nous. La conviction intime que notre peuple était bien supérieur au leur en beauté et en intelligence me frappa alors. Mais je n’éprouvais ni haine ni de dédain envers eux. Arjuna et moi leurs étions différents et supérieurs, c’était ainsi. Je m’instruisais d’eux en me divertissant de leurs émotions et cela me convenait parfaitement. Peu à peu Arjuna et moi prîmes en âge et vint le temps où les jeunes Duyungs devaient quitter le cercle familiale bien que cela inquiéta nos parents qui se méfiaient particulièrement du monde des humains. D’ordinaire, les jeunes individus de notre peuples s’en allaient seuls de par l’océan pour quérir l’amour d’un ou d’une partenaire pour fonder une nouvelle famille. Mais je n’éprouvai aucunement cet instinct. J’étais déjà avec ma moitié et ce depuis la naissance. Arjuna représentait tout ce que je pouvais espérer de meilleurs et de bénéfique. Sans elle je me serai senti comme déchiré en deux, privé de la moitié de mon être. Il était hors de question que nous nous séparions. Je tenais bien trop à elle. La fusion de nos âmes s’en trouva grandissante, nous octroyant une complicité sensuelle et affective encore innocente et gémellaire. Nous veillâmes l’un sur l’autre, prodiguant attentions et soins tendres et nous sentant capable de conquérir le monde puisque nous étions indissociables et complémentaires. La candeur et la passion au cœur, nous entamâmes la découverte de nouvelles parties de l’île où nous ne nous étions jamais aventurés. La fréquentation de ces humains prit peu à peu une tournure plus passionnante encore. Les regards, leurs sourires en notre présence laissaient deviner un désir de contact et de proximité latent et douceâtre. Ma sœur tout comme moi, recevions sans cesse leurs avances plus ou moins grossières. La maladresse affective de ces créatures fortes simplettes là m’amusait grandement. Et nous voulûmes en savoir plus sur ce qui faisait tant vibrer les humains. Le désir et la passion des sens… Cette délicieuse découverte fut un point déterminant dans ce qui serait notre devenir puisque de fils en aiguille, je prenais goût à lancer des défis toujours plus osés a Arjuna pour l’encourager à me montrer à quelle point elle était irrésistiblement attirante pour les hommes. Me régalant moi-même de la compagnie d’un flirt féminin opportuniste, j’admirai la superbe de ma sœur alors qu’elle faisait langoureusement tomber dans ses filets un nouveau villageois. Plus elle attisait la convoitise et le désir des hommes, plus elle me séduisait et me rendait admiratif. C’est également à cette période que je découvris l’art séculaire du tatouage Javanais. Je trouvais absolument magnifique des ornementations colorées qui pouvaient aussi bien conter l’histoire de celui qui le portait que n’être qu’un embellissement purement esthétique. Cette discipline me passionnait tant que je fini par faire la rencontre d’un vieux maître qui m’enseigna tout son savoir faire. Et il ne fallut pas bien longtemps avant que je ne n’entame la réalisation d’un grand dragon porte-bonheur sur les délicates courbes enivrantes du dos de ma chère sœur. Nous n’avions jusqu’ici fréquenté que les classes inférieures de la société humaine qui résidait sur les cotes que nous fréquentions alors. Mais nous enfonçant plus souvent dans les terres nous rencontrâmes des populations plus sophistiqués et ronflantes de manières délicates. Ces humains là généralement de peau plus clair et d’allure moins typée, me parurent plus intéressants encore que ceux de basses extractions et du cru. Un soir d’ailleurs, et sur mon injonction perverse, Arjuna découvrit pour la première fois les délices de la sexualité humaine quand elle s’offrit à l’une de ces jeunes personnes bien-nées que nous fréquentions alors. Une fois la chose faite, mon irrésistible jumelle me fit plus l’éloge du faste et du luxe de la maison où elle avait passé la nuit, que des performances déplorables du freluquet qui manqua cruellement d’expérience pour ce qui avait attrait à l’art des sens et leurs ravissements. Il faut dire que mes mains à moi avaient habituées les sens d’Arjuna à d’incomparables caresses. Me concurrencer sur cet état de fait eut été vain tant ma jumelle préférait mes attentions expertes. L’épisode put n’être qu’anecdotique si le père fortuné et influent du jeune homme n’eut pris ombrage d’une telle coucherie. Ce patriarche, soucieux de l’image que véhiculait son fils, vit d’un très mauvais œil qu’il soit dit que son rejeton s’acoquinait avec une « vulgaire autochtone ». Le propos me fit hausser un sourcil désabusé … visiblement les puissants tout autant que les dominés de ce peuple étaient sujets aux manques de discernements. Mais alors la proposition qu’il fit spontanément pour s’assurer notre silence et notre discrétion, offrit un nouvel intérêt aux tribulations qu’autorisaient nos charmes. De l’argent … des florins sonnants et trébuchants… J’avais alors déjà remarqué que ces petits morceaux de métal luisant frappé d’un profil occidental qui étaient utilisés pour obtenir des objets, de la nourriture et bien d’autres choses encore. Mais alors ? … si l’on voulait s’offrir ce qui nous faisait envie, il n’y avait qu’à s’accoupler avec les humains et ils donneraient en retour ces précieux sésames rutilants ? L’humanité était elle réduite à devoir payer le prix fort pour se reproduire ? Je remisai cette interrogation sociologique et me rendis compte qu’au delà du pouvoir de séduction qui était le nôtre et de l’attirance que les hommes avait pour ma tendre sœur, il y avait un moyen de s’élever dans la société des hommes et de ne plus fréquenter que les classes les plus aisées. J’avais goûté au luxe, au confort, à la volupté. Je ne pouvais ni ne voulais que nous faisions marche arrière et que nous retournions cotoyer les rustres subalternes qui vivaient chichement dans leurs villages de cabanes. Désormais je ne tolérerai plus que l’on pose les mains sur le corps de ma sœur sans que cela ne nous soit rétribué de manière pécuniaire ou exceptionnellement par des services rares ou des informations précieuses. S’ils là voulaient, ils devraient se montrer généreux. Ainsi entrainai-je Arjuna mon aimée, dans une quête de richesses et d’influences qui nous lia d’une passion sulfureuse. Elle s’offrait pour moi, elle s’ouvrait pour nous, à nôtre avenir et à notre goût du bien jouir et du bien vivre. La voir exulter ses sensations orgasmiques et rendre pantois d’assouvissement les hommes à qui je l’offrais, me bouleversait d’un désir brûlant. Je la désirai et l’admirai un peu plus chaque jour sans réellement comprendre l’émoi qui me taraudait. Etait-ce un instinct de préservation face à l’opprobre et l’honteux d’un tel désir qui m’empêcha d’y succomber ? Je ne saurai le dire. Mais bien que je prenne moi aussi du bon temps avec de nombreuses femmes, il n’en restait pas moins que mon cœur et mon esprit n’étaient focalisés que sur elle seule, définitivement et infiniment lié à elle et elle seule !!. Ma moitié, ma mie, mon aimée. Arjuna mon calice ! Quelle douce et terrible souffrance de ne pouvoir t’aimer de mon corps entier comme je t’aime si passionnément mon cœur. Mais alors que j’acquerrai une petite notoriété avec les tatouages que je faisais moyennant bonne rétribution, nos pérégrinations et nos rencontres frivoles nous firent avoir connaissance de l’existence d’une maison close d’un standing remarquable située à Batavia : la Hase de Vénus. Nos attentes en terme de confort et de luxe concordaient admirablement avec le cosy et le subtil de l’établissement. L’accueil qu’on nous y fit, bien au delà de nos avenantes apparences, fut remarquable et il ne fallut pas longtemps pour que je parvienne, sans grande peine puisque nous n’ignorions rien des bonnes manières et de l’étiquette qui seyaient au raffinement des lieux, a y trouver notre place en tant que résidants. Je dis bien « notre » car il fut convenu avec la gérante de la Hase, que si ce fameux lieu de plaisir et de culture voulait pouvoir compter l’irrésistible Arjuna parmi ses ribaudes, il allait falloir m’y inclure également. Ma sœur n’acceptait exclusivement que mes désirs et s’ils étaient d’offrir ses charmes à ceux qui en paieraient le prix à la Hase, cela impliquait que je sois le gardien de ses jours et de ses nuits. Mais rassurez vous je ne faisais en rien abstinence et je profitai allégrement de mon coté des multiples occasions qui me furent données d’assouvir de fougueux et manipulateurs plaisirs aux girons de ribaudes, de bourgeoise patentées ou de jeunes femmes bien nées.
Peu m’importait au final les richesses d’or et les vies de velours … car j’avais pour ma sœur c’est invincible amour qu’elle me rendait un peu plus chaque jour.
Hors du jeu
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Sujet: Re: Darma Gairah [Terminée] Mar 9 Fév - 12:23
Bonjour Darma et re-bienvenue !
Au tour de Monsieur
Un personnage que je trouve délicieusement plus détestable que sa soeur, mais ce n'est qu'un avis personnel. Votre relation particulière est vraiment intéressante. Je n'ai toujours rien à corriger.
Je te valide donc
Messages : 130 Tickets : 285 Date d'inscription : 07/02/2016 Age : 31 Localisation : La Hase de Vénus